Blog

  • Ghost in love (Marc Levy)

    Marc Levy est l’un des auteurs préférés des français, comme en témoignent ses chiffres de vente (qui me rendent jalouse, je ne peux pas le nier). Plus jeune, j’ai lu « Et si c’était vrai », son tout premier roman, dont je gardais un assez bon souvenir. Mais c’était il y a près de 20 ans… Et à force de retrouver le livre « Ghost in love » sur toutes les têtes de gondoles des librairies, j’ai fini par avoir eu envie de le lire pour me faire ma propre opinion.

    Lire la suite

  • Le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie (Virginie Grimaldi)

    On ne présente plus Virginie Grimaldi : elle est l’une des auteures françaises qui vendent le plus de livres… J’ai lu quelques-uns de ses ouvrages, mais pas tous. Et plusieurs de mes amies m’avaient recommandé celui-ci : je l’ai donc lu cet été (oui, en août, je lis beaucoup !)

    Lire la suite

  • Une évidence (Agnès Martin-Lugand)

    Cet été, bien installée dans mon hamac, j’ai découvert le dernier roman d’Agnès Martin-Lugand. Les commentaires très positifs sur ce livre m’avaient donné envie de le lire, et en entrant dans une petite Maison de la Presse d’un bled perdu de la Haute-Loire, je suis tombée dessus. Et alors ?

    Lire la suite

  • L'Auteur (Vincent Ravalec)

    Quand tu publies ton premier livre, tu deviens officiellement écrivain (ou écrivaine, si tu es une femme. Si si, c’est comme ça qu’on dit. Tu n’es pas choqué quand tu dis souverain / souveraine, alors pourquoi le serais-tu par écrivain / écrivaine ? Médite un peu la-dessus !). Peu importe que tu écrivais déjà depuis 20 ans : pour te voir reconnaître ce titre très convoité, il te faut impérativement passer par la case de la publication. Mais là n’est pas le débat. Lorsque ton premier livre sort enfin, tu t’attends à plein de choses : ton bouquin en devanture de toutes les librairies, les demandes d’interviews qui tombent à la pelle, les rencontres avec les lecteurs, les séances de dédicaces, les salons… Et bien permets-moi de te dire que la réalité est tout autre. Et Vincent Ravalec en parle mieux que personne dans son ouvrage « L’auteur » paru en 1995.

    Lire la suite

  • Les victorieuses (Laetitia Colombani)

    Comme des millions de lecteurs, j’avais lu « La tresse », le premier roman de Laetitia Colombani. Et pourtant, j’ai failli passer à côté de cette pépite. Pourquoi ? Tout simplement parce que la couverture ne m’attirait pas du tout… Bien que les critiques soient dithyrambiques, ce livre ne me donnait pas envie. Et quand ça ne me tente pas, je ne me force pas. Jusqu’à ce que je le trouve dans une brocante pour une bouchée de pain. Et lorsqu’il n’est plus resté que ce livre sur ma table de chevet, je l’ai ouvert. Et j’ai pris une belle claque. C’est pourquoi je n’ai pas attendu pour lire le nouveau roman de l’autrice.

    Lire la suite

  • Boomerang (Tatiana de Rosnay)

    Bien que je ne l’aie découverte que très tardivement, Tatiana de Rosnay est rapidement devenue l’une de mes autrices préférées. Il est donc évident que je ne suis pas tout à fait objective quand je lis un de ses livres… Contrairement à mon habitude, j’ai décidé de ne pas m’avaler l’intégralité de son œuvre à la suite, mais plutôt de faire durer le plaisir en lisant ses romans petit à petit, tous les 4-5 mois… Et cet été, j’ai choisi « Boomerang ».

    Lire la suite

  • Chambre 128 (Cathy Bonidan)

    Il y a quelques semaines, j’ai découvert « Le parfum de l’hellébor», premier roman de Cathy Bonidan, que j’avais adoré (qui m’avait même fait pleurer, ce qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps). J’étais donc à la fois impatiente et inquiète de me plonger dans son nouvel opus. Je l’avais mis de côté pour les vacances, histoire de le savourer pleinement plutôt que de façon hachée entre deux rames de métro (mon triste quotidien de lectrice…)

    Lire la suite

  • « J’ai dû rêver trop fort » (Michel Bussi)

    Je ne connais pas bien Michel Bussi. Comme tout le monde, j’avais déjà lu quelques uns de ses bouquins (« Un avion sans elle » que j’avais beaucoup aimé même si j’avais gardé en tête la chanson de Charlélie Couture pendant des JOURS, et « Maman a tort » qui m’avait accompagnée pendant un long trajet en train) mais je ne peux pas dire que j’en sache plus sur cet auteur. Je me suis donc dit que mes premiers jours de vacances seraient une bonne occasion de découvrir « J’ai dû rêver trop fort ».

    Lire la suite