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  • Etés anglais (Elizabeth Jane Howard)

    « Don’t judge a book by its cover », dit le dicton. Mais c’est pourtant exactement ce que j’ai fait avec « Etés anglais ». Je suis entrée dans ma petite librairie de village et là, au milieu de centaines de livres, cette couverture aux teintes vertes rétro a immédiatement capté mon regard. Un petit Post-it indiquait « Coup de cœur de votre libraire » : je me suis laissé tenter.

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  • Et finalement l'envie revient...

    Depuis le 1er mars, je n’écrivais plus. Pas un mot. Pour la première fois de ma vie, j’ai eu le « syndrome de la page blanche ». Impossible d’écrire (j'en avais parlé ici), mais également de lire, de regarder un film ou de jouer de la musique. Et plus le temps passe, plus je découvre que je suis loin d’être la seule à avoir eu ce genre de réaction…

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  • Victor Kessler n'a pas tout dit (Cathy Bonidan)

    S’il y a un livre que j’attendais, c’est bien le dernier de Cathy Bonidan. Son premier roman m’avait littéralement traumatisée (j’ai pleuré pendant 25 minutes après avoir terminé ma lecture…) et il se passe quelque chose dès que je lis ses livres. Je ne l’explique pas : ça me touche en plein cœur. C’est donc tout naturellement que j’ai acheté son dernier roman.

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  • Tu seras un homme - féministe - mon fils (Aurélia Blanc)

    J’ai un petit garçon de 3 ans et depuis sa naissance, je fais peser sur mes épaules une véritable responsabilité quant à la façon de l’éduquer. Depuis toujours, les inégalités entre hommes et femmes me révoltent : j’essaie bien sûr au quotidien de lutter contre ces injustices, mais les choses sont bien ancrées dans l’inconscient collectif. Je ne peux m’empêcher de penser que ma génération a la responsabilité de planter chez les enfants les graines de l’égalité des adultes qu’ils seront demain. J’ai eu beau chercher des livres sur l’éducation féministe des garçons, je n’ai rien trouvé (alors que pour les filles, pfffiiiiou, qu’est-ce qu’il y en a !). C’est pourquoi j’ai évidemment acheté le livre d’Aurélia Blanc, « tu seras un homme – féministe - mon fils ».

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  • La vie est un roman (Guillaume Musso)

    Guillaume Musso est depuis 9 ans "l'auteur préféré des Français". Chaque année, ses ventes de livres dépassent le million (heureux son éditeur...). Et l'écrivain s'est fxé pour objectif de sortir un livre par an (comme Amélie Nothomb d'ailleurs.... J'adorerais pouvoir en faire de même, mais malheureusement, je n'ai pas la possibilité de passer huit heures par jours à écrire...). Et comme tous les ans avant l'été, Guillaume vient de publier son nouveau roman, "La vie est un roman" (même si la parution a été décalée de quelques semaines - confinement oblige - mais il y a fort à parier que ce léger retard n'aura pas trop d'impact sur les ventes et que ce nouvel opus restera l'une des valeurs sûres de cet été). Et bien entendu, j'ai cédé et je l'ai acheté...

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  • L'énigne de la chambre 622 (Joël Dicker)

    Comme des millions de lecteurs, j'avais été emballée par "La vérité sur l'affaire Harry Québert" et Joël Dicker fait désormais partie des auteurs dont j'attends les livres avec beaucoup d'impatience. Alors bien entendu, j'étais pressée de lire son nouvel opus, "L'énigme de la chambre 622", sorti le 27 mai dernier. Comment résumer ce que je ressens après l'avoir terminé ? Disons que "plus l'espérance est grande, plus la déception est violente"...

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  • Des mots par la fenêtre (ouvrage collectif)

    Pendant le confinement, 64 auteurs et autrices ont participé à un projet d'ouvrage collectif dont l'intégralité des bénéfices sera reversée à la Fondation Hôpitaux de Paris - Hôpitaux de France. Rien que pour cela, je suis contente de l'avoir acheté. Cet ouvrage qui, en raison de la situation sanitaire, n'a été diffusé qu'en version électronique, annonçait une belle promesse : 64 textes inédits autour de l'évasion, de la liberté, de l'espoir... Malheureusement, le résultat est bien en-deça de ce que pouvait laisser attendre le casting de rêve de cet ouvrage.

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  • Comment parler de son livre en public ?

    Bien que la plupart des gens ont du mal à le croire, je suis une grande timide. Prendre la parole en public est pour moi une épreuve qui me demande beaucoup de préparation et de nombreux exercices de respiration. C'est pourquoi j'ai toujours préféré le verbe à la parole. Malheureusement, je l'ai appris un peu tard, être écrivain impose de prendre la parole en public pour venir défendre son travail. Et je n'étais pas préparée à cela... Voici quelques conseils pour vous aider à parler de votre livre lors de conférences ou de salons ! A vous de jouer !

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