Don’t judge a book by its cover
- Le 16/01/2019
- Dans Vie d'autrice
Je suis une grande lectrice (du moins je l’étais avant d’avoir un enfant, mais c’est une autre histoire…). L’une de mes activités préférées, c’est de rentrer dans une librairie et de parcourir les rayonnages, sans rien chercher de particulier. Parfois, un livre m’interpelle et je repars avec. Bien sûr, je lis le petit résumé à l’arrière, histoire de voir si j’ai envie d’en savoir plus ou pas. Mais ce qui m’attire (ou me rebute), c’est la couverture.
Car oui, le physique, ça compte, même pour les livres.
Evidemment, en tant que toute nouvelle auteure, j’étais très impatiente de découvrir la couverture de mon premier roman : est-ce que ce serait une photo ? Un dessin ? Mon livre traite de sujets plutôt graves : la couverture serait-elle sombre ? J’étais à la fois très impatiente et un peu inquiète – et si ce que me proposaient mes éditrices ne me plaisait pas ? En recevant l’email intitulé « Couverture », mon cœur s’est mis à battre très vite. Avec un peu d’appréhension, j’ai ouvert la pièce jointe… Et j’ai souri.
Pas besoin de réfléchir, la couverture me plaisait. Vraiment beaucoup. La graphiste (car c’est une femme, je me suis renseignée !) avait fait du super boulot : elle avait su mettre en avant les huit femmes de mon roman, avec ces médaillons anciens qui veulent tant dire. Je n’avais pas du tout imaginé ce type de visuel mais j’ai immédiatement adoré voir mon nom sur cette couverture. Et je suis encore plus fière de vous la faire découvrir en avant-première !