Mes lectures

  • Le Journal d'Anne Frank

    Comme beaucoup de jeunes de ma génération, j’ai lu le « Journal d’Anne Frank » lorsque j’étais au collège. Je gardais de cette lecture un souvenir très fort, sans pour autant avoir envie de lire à nouveau ce livre qui a pourtant marqué le monde entier. J’ai commencé à y repenser lors du premier confinement : alors que chacun se plaignait d’être assigné à résidence pendant 3 mois, je n’ai pu m’empêcher de me dire que nous avions bien peu de raisons de nous plaindre en comparaison avec la situation de la famille Frank. A chaque nouveau confinement, j’y repensais. Et puis il y a eu ce séjour à Amsterdam, mi-décembre : j’avais réservé une visite de la maison dans laquelle Anne Frank s’était cachée pendant deux ans. Et j’ai évidemment racheté le livre.

  • Nous irons mieux demain (Tatiana de Rosnay)

    Quand Tatiana de Rosnay a publié ce roman, je l’ai acheté immédiatement. Mais je ne l’ai pas lu tout de suite… Je ressens toujours cette petite appréhension lorsque mon autrice préférée sort un livre : vais-je être déçue ou, au contraire, enchantée , J’avais décidé de le garder pour mes vacances, mais je n’ai pas eu le courage de résister à la curiosité de découvrir ce nouveau roman…

  • Patronnes – Tête à tête avec les numéros unes (Elodie Andriot)

    Il y a quelques années, j’ai eu des velléités de monter ma boite avec un ami. Au moment de répartir les parts, nous avons décidé assez naturellement qu’il serait le n°1 et moi la n°2. A l’époque, j’affirmais qu’être celle qui œuvre dans l’ombre me convenait parfaitement. La réalité est que j’avais peur, car le peu d’exemples que j’avais de femmes patronnes laissaient supposer qu’elles avaient dû passer par des épreuves terribles pour en arriver là où elles étaient. Je pensais que je n’en serais pas capable (syndrome de l’imposture, quand tu nous tiens…). La question s’est à nouveau posée il y a 10 ans : j’ai hésité à lancer mon agence de com. Là encore, la trouille d’être la n°1. J’y repense parfois en me demandant où j’en serais si j’avais osé. Mais à l’époque, faute de modèle, je pensais que ce n’était pas possible. J’arrivais à l’âge où se pose la question des enfants, et j’ai fait le choix de la raison en optant pour le salariat. Alors quand j’ai appris qu’un livre dédié aux patronnes était publié, je l’ai évidemment acheté tout de suite !

  • Les grandes oubliées (Titiou Lecoq)

    • Le 05/12/2021

    A 40 ans, je viens d’avoir une révélation : tout ce que j’ai appris à l’école est faux. Du moins, incomplet… Souvent, je me suis demandé pourquoi il y avait si peu de femmes dans mes livres scolaires : j’avais fini par me dire que les femmes n’avaient pas tenu de rôle aussi important que les hommes dans l’Histoire (avec un grand H) et que leur condition de femmes les avait obligées à rester en retrait. Jusqu’à ce que la lecture du dernier livre de Titiou Lecoq, « Les grandes oubliées – Pourquoi l’Histoire a effacé les femmes ? », me fasse entrevoir une réalité bien différente : le rôle des femmes dans l’Histoire, mais aussi dans le domaine artistique, n’a pas été aussi minime que je le croyais. Bien au contraire. Alors pourquoi – et comment – a-t-on fait disparaitre ces femmes ?

  • Célestine du Bac (Tatiana de Rosnay)

    J’ai lu tous les livres de Tatiana de Rosnay (sauf un, dès les premières pages qui évoquaient la disparition d’un enfant, j’ai été tellement bouleversée que je n’ai pas pu continuer). J’ai bien sûr été très intriguée lorsque « Célestine du Bac » est sorti il y a quelques mois. D’abord parce que je suis toujours très curieuse de découvrir les nouveaux romans de cette autrice que j’admire tant et ensuite parce que ce livre a une histoire peu banale…

  • Ce que les étoiles doivent à la nuit (Anne-Gaëlle Huon)

    « Ce que les étoiles doivent à la nuit », le nouveau roman d’Anne-Gaëlle Huon, sortait quelques jours seulement après que j’ai refermé « Les demoiselles ». Pas question cette fois-ci de rater le coche : je l’ai donc immédiatement acheté, sans savoir de quoi il parlait. J’étais loin d’imaginer qu’il allait me réserver une magnifique surprise…

  • Les demoiselles (Anne-Gaëlle Huon)

    En 2019, je découvrais avec bonheur Anne-Gaëlle Huon et son très joli "Même les méchants rêvent d'amour". J'aurais dû me précipiter sur son roman suivant, sorti en juin 2020, mais il est passé entre les mailles du filet. Entre le confinement, le stress lié au covid, mon changement de boulot et la rédaction de mon nouveau roman, j'avoue, je l'ai raté. Il y a quelques semaines, en apprenant que l'autrice allait bientôt publier son quatrième roman, je me suis dit qu'il était temps de rattraper mon retard et lire "Les demoiselles" dont j'avais entendu tant de bien.

  • L'anomalie (Hervé Le tellier)

    • Le 01/05/2021

    Je ne suis pas une lectrice assidue des Prix Goncourt. A part « Une chanson douce » de Leïla Slimani (qu’on m’a offert pendant ma grossesse – quelle drôle d’idée…), je crois n’avoir lu aucun des livres ayant remporté ce prix prestigieux. Aujourd’hui encore, je m’en étonne et ne m’explique pas pourquoi je ne suis pas attirée par les Goncourt. Mais pour L’Anomalie, j’ai fait une exception.

  • Trois (Valérie Perrin)

    Je suis une grande admiratrice du travail de Valérie Perrin. J’avais été emballée par « Les oubliés du dimanche » et « Changer l’eau des fleurs » et j’attendais bien sûr ce troisième roman avec beaucoup d’impatience… et un peu d’angoisse. Quand j’admire autant un auteur, j’appréhende toujours un peu la sortie de son nouveau livre. La peur d’être déçue. J’avais le cœur battant en commençant la lecture de « Trois » : Valérie Perrin allait-elle encore m’embarquer ?

  • Je veux tout (Nathalie Rozborski)

    "Réussir sa vie, s'épanouir, arriver à tout concilier sans rien sacrifier, c'est possible !" : telle est la promesse de "Je veux tout", le premier livre de Nathalie Rozborski, directrtice générale déléguée de l'agene de conseil en stratégie business NellyRodi. Avoir une vie professionnelle réussie et être pleinement épanouie dans sa vie personnelle : voilà exactement le genre de modèle dont j'ai besoin en ce moment. Depuis plusieurs mois, je me pose beaucoup de questions. Et notamment : peut-on tout avoir ? J'en étais arrivée à croire qu'on peut tout avoir... mais pas en même temps, quand la couverture de ce livre m'a attrapé l'oeil. Peut-être allais-je enfin trouver la solution à toutes ces problématiques auxquelles je suis confrontée au quotidien en tant que femme...

  • 30 discussions pour une éducation antisexiste

    Plus le temps passe, plus je suis sensible aux questions d'éducation. Et principalement quand il s'agit des questions de genre et de sexisme. J'avais déjà dévoré Tu seras un homme féministe mon fils et je continue à m'interroger au quotidien sur l'éducation que je donne à mon fils de 3 ans. C'est certainement l'influence de cette parole des femmes qui se libère (enfin, même si ce n'est pas assez à mon goût) et le fait qu'en tant que mère d'un garçon, je me dis qu'il est aussi de ma responsabilité de femme de planter en lui les graines de la tolérance, de l'égalité et du féminisme (et j'entends par la le fait qu'hommes et femmes aient strictement les mêmes droits). Je suis tombée sur ce petit livre par hasard et son format un peu différent m'a interpelée.

  • Les enfants sont rois (Delphine de Vigan)

    Deux ans que j'attendais ça : il y a quelques jours, Delphine de Vigan a sorti un nouveau livre. En grande admiratrice de son travail, j'ai évidemment immédiatement acheté son dernier roman "Les enfants sont rois" et me suis plongée dans sa lecture sans plus attendre (et croyez-moi, en ce moment, j'ai un planning serré donc ça n'a pas été facile !). En plus, le sujet m'intéressait : la téléréalité, les enfants influenceurs, les réseaux sociaux... Alors que nous "fêterons" dans quelques semaines le 20ème anniversaire de Loft Story, j'ai bien entendu eu envie de le lire, certaine que l'écrivaine que j'admire tant allait une fois encore m'embarquer dans un incroyable voyage. Loupé.

  • Sans alcool (Claire Touzard)

    • Le 14/02/2021

    Je n’aime pas l’alcool. Il m’arrive d’en consommer de temps en temps, parfois parce qu’il peut m’arriver d’avoir envie découvrir une saveur nouvelle mais surtout par obligation a de moins en moins. En avançant en âge, je réalise combien l’alcool a en France une importance majeure dans les relations sociales. Alors quand j’ai vu que Claire Touzard publiait un livre sur ce thème, afin de partager son expérience de l’alcool « mondain » et les réflexions nées de son abandon de l’alcool, j’ai eu envie d’en savoir plus.

  • Le printemps suivant - tome 1 (Margaux Motin)

    Comme beaucoup de trentenaires, j’adore le travail de Margaux Motin. J’ai découvert cette illustratrice il y a une douzaine d’années, lorsqu’elle a créé son blog, et depuis, je suis son travail. J’adore découvrir ses illustrations dans la presse ou sur des affiches publicitaires, et j’achète évidemment ses BD. Alors bien sûr, je me suis offert le premier tome de son dernier opus, « Le printemps suivant – Vents contraires ».

  • La familia grande (Camille Kouchner)

    « Tu as vu ce qui arrive à Duhamel ? » : voilà le message que j’ai reçu d’une de mes anciennes collègues il y a quelques jours, accompagné d’un article du Monde sur une affaire qui allait défrayer la chronique les jours suivants. Il y a quelques années, nous avons toutes les deux travaillé avec Olivier Duhamel, et forcément, cette terrible révélation nous a amenées à repenser à cette époque. Mais au-delà des gros titres des journaux, il y a surtout un livre : « La familia grande », de Camille Kouchner. Et parce que je me méfie des médias, souvent racoleurs, et de tous ceux qui donnent leur avis sans savoir de quoi ils parlent, j’ai eu envie moi aussi de lire ce livre, pour me faire ma propre opinion…

  • Rosa Dolorosa (Caroline Dorka Fenech)

    J’ai la chance de travailler avec deux éditrices incroyables : en plus d’être vachement sympas, elles ont surtout beaucoup de talent et le don de dénicher des perles littéraires. Alors forcément, dès qu’un nouveau livre est publié aux Editions de La Martinière, je le lis. Et pour de vrai, la plupart du temps, je tombe sur de véritables petites pépites. Et Rosa Dolorosa, le premier roman de Caroline Dorka-Fenech en est une…

  • Radium girls (Cy)

    Je n’y connais rien en bandes-dessinées : à part les classiques qu’à peu près tout le monde a lus (Lucky Luke, Astérix, Tintin…), ma culture BD est très pauvre (même si j’ai une véritable passion pour les Dingodossiers et autres « Rubriques A Brac », qui me font rire depuis plus de 25 ans…). Et pourtant, depuis quelques temps, je découvre la bande-dessinée féminine, et ce que je découvre commence à bien me plaire. Je suis notamment la dessinatrice Cy sur Instagram, et son projet « Radium girls » m’a donné envie d’en savoir plus et de m’offrir sa dernière bande-dessinée.

  • L'odeur de la colle en pot (Adèle Bréau)

    Je n’arrêtais pas de voir passer ce livre sur Instagram, avec des commentaires dithyrambiques. Alors j’ai eu envie de me faire ma propre idée… Moi aussi, j’ai été ado dans les années 90 et retrouver cette drôle d’ambiance des années collège m’amusait beaucoup. En plus, ma sœur était dans le même établissement que l’héroïne du roman et j’adore connaître le décor des livres que je lis. Malheureusement, ce roman ne m’a pas emballée autant que je le pensais : si le voyage dans le temps est bien réel, j’en garde une drôle d’impression d’inachevé.

  • Et que ne durent que les moments doux (Virginie Grimaldi)

    Cet été, j’ai eu envie d’un livre facile à lire. D’un roman qui ne me demanderait pas trop de réflexion mais susciterait en moi des émotions (j’adore avoir les yeux mouillés par la lecture !). Alors forcément, quoi de mieux que le dernier opus de Virginie Grimaldi, la romancière préférée des Français ? En plus, il parle de maternité, et même si j’essaie de ne pas trop être cantonnée à ce difficile rôle de maman, j’aime bien les livres qui abordent le délicat sujet de la vie des mères…

  • Etés anglais (Elizabeth Jane Howard)

    « Don’t judge a book by its cover », dit le dicton. Mais c’est pourtant exactement ce que j’ai fait avec « Etés anglais ». Je suis entrée dans ma petite librairie de village et là, au milieu de centaines de livres, cette couverture aux teintes vertes rétro a immédiatement capté mon regard. Un petit Post-it indiquait « Coup de cœur de votre libraire » : je me suis laissé tenter.

  • Victor Kessler n'a pas tout dit (Cathy Bonidan)

    S’il y a un livre que j’attendais, c’est bien le dernier de Cathy Bonidan. Son premier roman m’avait littéralement traumatisée (j’ai pleuré pendant 25 minutes après avoir terminé ma lecture…) et il se passe quelque chose dès que je lis ses livres. Je ne l’explique pas : ça me touche en plein cœur. C’est donc tout naturellement que j’ai acheté son dernier roman.

  • Tu seras un homme - féministe - mon fils (Aurélia Blanc)

    J’ai un petit garçon de 3 ans et depuis sa naissance, je fais peser sur mes épaules une véritable responsabilité quant à la façon de l’éduquer. Depuis toujours, les inégalités entre hommes et femmes me révoltent : j’essaie bien sûr au quotidien de lutter contre ces injustices, mais les choses sont bien ancrées dans l’inconscient collectif. Je ne peux m’empêcher de penser que ma génération a la responsabilité de planter chez les enfants les graines de l’égalité des adultes qu’ils seront demain. J’ai eu beau chercher des livres sur l’éducation féministe des garçons, je n’ai rien trouvé (alors que pour les filles, pfffiiiiou, qu’est-ce qu’il y en a !). C’est pourquoi j’ai évidemment acheté le livre d’Aurélia Blanc, « tu seras un homme – féministe - mon fils ».

  • La vie est un roman (Guillaume Musso)

    Guillaume Musso est depuis 9 ans "l'auteur préféré des Français". Chaque année, ses ventes de livres dépassent le million (heureux son éditeur...). Et l'écrivain s'est fxé pour objectif de sortir un livre par an (comme Amélie Nothomb d'ailleurs.... J'adorerais pouvoir en faire de même, mais malheureusement, je n'ai pas la possibilité de passer huit heures par jours à écrire...). Et comme tous les ans avant l'été, Guillaume vient de publier son nouveau roman, "La vie est un roman" (même si la parution a été décalée de quelques semaines - confinement oblige - mais il y a fort à parier que ce léger retard n'aura pas trop d'impact sur les ventes et que ce nouvel opus restera l'une des valeurs sûres de cet été). Et bien entendu, j'ai cédé et je l'ai acheté...

  • L'énigne de la chambre 622 (Joël Dicker)

    Comme des millions de lecteurs, j'avais été emballée par "La vérité sur l'affaire Harry Québert" et Joël Dicker fait désormais partie des auteurs dont j'attends les livres avec beaucoup d'impatience. Alors bien entendu, j'étais pressée de lire son nouvel opus, "L'énigme de la chambre 622", sorti le 27 mai dernier. Comment résumer ce que je ressens après l'avoir terminé ? Disons que "plus l'espérance est grande, plus la déception est violente"...

  • Des mots par la fenêtre (ouvrage collectif)

    Pendant le confinement, 64 auteurs et autrices ont participé à un projet d'ouvrage collectif dont l'intégralité des bénéfices sera reversée à la Fondation Hôpitaux de Paris - Hôpitaux de France. Rien que pour cela, je suis contente de l'avoir acheté. Cet ouvrage qui, en raison de la situation sanitaire, n'a été diffusé qu'en version électronique, annonçait une belle promesse : 64 textes inédits autour de l'évasion, de la liberté, de l'espoir... Malheureusement, le résultat est bien en-deça de ce que pouvait laisser attendre le casting de rêve de cet ouvrage.

  • Pas plus de quatre heures de sommeil (Marlène Schiappa)

    Je suis très admirative du travail de Marlène Schiappa pour les Droits des Femmes. On peut dire ce qu'on veut, mais pour la première fois depuis bien longtemps, il y a quelqu'un au Gouvernement qui semble concernée par le sujet qu'elle porte et qui n'hésite pas à essayer de faire bouger les lignes. Aussi, quand j'ai appris qu'elle avait publié plusieurs livres, j'ai voulu me faire ma propre opinion. je me suis donc plongée dans "Pas plus de quatre heures de sommeil", un livre dont le titre parlait particulièrement à la jeune maman que je suis encore...

  • Les cicatrices de la nuit (Alexandre Galien)

    Je ne vais pas mentir : c'est uniquement le bandeau "Prix du quai des Orfèvres 2020" qui m'a incitée à acheter ce roman. Jamais je n'avais entendu parler de son auteur (qui n'en est pas à son premier roman mais écrivait précédemment sous le pseudonyme d'Alex Laloue) mais j'avais envie d'un bon polar et depuis que j'ai fini tous ceux d'Olivier Norek, je me trouve un peu démunie. J'ai donc acheté "Les cicatrices de la nuit" sans même avoir lu la quatrième de couv'. Et cette première découverte avec la plume de cet auteur est plutôt une bonne surprise !

  • Le service des manuscrits (Antoine Laurain)

    En tant que jeune écrivaine et grande dévoreuse de romans policiers, je ne pouvais pas passer à côté de ce nouveau roman d'Antoine Laurain, que j'ai découvert via une chronique de la blogueuse littéraire Syboulette (dont au passage je partage souvent les goûts en matière de littérature). Je me suis plongée dans la lecture de ce nouvel opus (qui se lit très facilement) mais en ressors avec une impression très mitigée : bizarrement, j'ai à la fois beaucoup aimé et été déçue...

  • Toutes les histoires d'amour du monde (Baptiste Beaulieu)

    Voilà maintenant presqu'un an que j'ai lu l'ouvrage collectif Exils dans lequel j'ai découvert la plume de Baptise Beaulieu. J'avais alors noté dans un coin de ma tête de penser à lire un de ses romans mais j'ai oublié. Jusqu'à ce que le confinement vienne me le rappeler : en tant que médecin, Baptiste Beaulieu a beaucoup communiqué sur les réseaux sociaux pour expliquer le coronavirus (avec un langage que tout le monde peut comprendre, même s'en avoir étudié la médecine). C'est ainsi que je me suis rappelé qu'il était également écrivain et que je n'avais rien lu de lui. J'ai donc commencé par son roman "Toutes les histoires d'amour", paru en 2018. Et j'ai été embarquée dans cette histoire dans l'Histoire.

  • Heimaey (Ian Manook)

    Pendant le confinement, j'ai fait un beau voyage. Une somptueuse évasion sur la terre islandaise, remplie de paysages à vous couper le souffle et d'un suspense haletant qui vous donne envie de lire à toute vitesse pour connaître la suite de l'histoire et en même temps de savourer chaque mot pour faire durer le plaisir. Bref, pendant le confinement, j'ai lu "Heimaey" de Ian Manook.

  • Le temps d'une allumette (Agathe Chenevez)

    Cette semaine, j'ai pris une énorme claque. Une baffe dans ma gueule. J'ai lu le premier livre d'Agathe Chenevez, une étudiante en psychologie d'à peine 20 ans, et je ne suis pas près de m'en remettre... Je regrette que ce livre soit sorti en librairie quelques jours seulement avant le début du confinement, car j'ai peu qu'il ne connaisse pas le grand succès qu'il mérite pour une sale histoire de virus et de mauvais timing... Oui, vous l'aurez compris, ce livre est un bijou, aussi bien sur le fond que sur la forme.

  • Les fleurs de l'ombre (Tatiana de Rosnay)

    Quelques jours avant le début du confinement, Tatiana de Rosnay (l'une de mes autrices préférées) a sorti son nouveau roman, "Les fleurs de l'ombre". Bien entendu, j'attendais ce nouvel ouvrage avec beaucoup d'impatience et je l'ai immédiatement téléchargé sur ma liseuse. Les premières semaines du confinement ayant été particulièrement intenses, je n'ai pas eu le temps de m'y plonger comme je le souhaitais. Mais j'ai fini par le lire. Et malheureusement, pour la première fois, je dois reconnaître (même si cela me fait de la peine de l'écrire) que j'ai été déçue...

  • C'est par ma faute (Samantha Bailly et Anne-Fleur Multon)

    Samantha Bailly est présidente de la lige des auteurs professionnels : depuis des mois, elle participe à mettre en lumière le statut très précaire des auteurs et illustrateurs. Elle est également l'autrice de nombreux ouvrages, que j'avais bien aimés. C'est pourquoi j'ai eu envie de lire sa dernière oeuvre, écrite en duo avec son amie Anne-Fleur Multon. Les deux jeunes femmes ont partagé sur les réseaux sociaux tout leur parcours créatif : forcément, après avoir suivi leurs travaux d'écriture, j'avais envie d'en découvrir le résultat !

  • Le bal des folles (Victoria Mas)

    • Le 18/02/2020

    Le titre de ce roman m’a attiré l’œil tout de suite. La période à laquelle il se déroule également : la vie à Paris à la fin du 19ème me fascine… Il s’agit du premier roman de Victoria Mas (la fille de Jeanne Mas). Et l’on peut dire que cette jeune trentenaire a beaucoup de talent. Son ouvrage a été récompensé par prix Stanislas du premier roman, le prix Patrimoines BPE, le prix Première Plume et le prix Renaudot des lycéens (rien que ça). Et franchement, c’est mérité.

  • La mémoire des murs (Tatiana de Rosnay)

    Quoi ? Encore un bouquin de Tatiana de Rosnay ? Décidément, je vais finir par vous lasser… Mais j’avoue que j’aime tellement cette autrice que je me régale à lire chacun de ses livres, même s’ils sont tous très différents. J’en profite au passage pour vous annoncer que son prochain roman (« Les fleurs de l’ombre ») sort le 12 mars prochain. J’dis ça, j’dis rien…

  • La délicatesse du homard (Laure Manel)

    Vous l’avez certainement remarqué : depuis quelques années, de plus en plus de livres publiés en auto-édition deviennent des best-sellers. C’est le cas de « La délicatesse du homard », que son autrice Laure Manel a auto-édité en 2016. Son livre a conquis plus de 100 000 lecteurs et l’écrivaine est désormais une figure du monde littéraire français. Ne connaissant pas sa plume, j’ai eu envie de la découvrir…

  • La dame de Reykyavick (Ragnar Jonasson)

    J’ai découvert Ragnar Jonasson il y a un an avec son livre « Snjor » qui fut pour moi une véritable révélation. J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette littérature islandaise qui m’était totalement inconnue, où l’on perçoit le froid et le temps qui s’écoule à un rythme si particulier, presque étouffé par la neige. C’est pourquoi j’ai évidemment eu envie de lire « La dame de Reykyavick ».

  • T'as pensé à ? (Coline Charpentier)

    La charge mentale est un sujet qui me touche particulièrement. J’ai une famille et un boulot à temps plein (sans parler de l’écriture de mes romans), et comme à peu près 100% de mes copines et collègues, la charge mentale fait partie de mon quotidien. Depuis un an, je suis sur Instagram le compte « T’as pensé à », qui soulève de nombreuses problématiques liées à cette charge mentale qui pèse au quotidien sur les femmes (mais pas que). Alors bien entendu, quand j’ai appris qu’un livre adapté de ce compte IG allait sortir, je suis immédiatement allée l’acheter…

  • A la vie (L'Homme Etoilé)

    Cela fait plusieurs mois maintenant que je suis l’Homme Etoilé sur Instagram. Ses dessins sur les soins palliatifs sont pleins de vie, d’humour et de douceur… mais aussi de tristesse. Quand cet infirmier / dessinateur a annoncé qu’il allait sortir son premier album d’illustration, je n’ai pas attendu une seconde : le jour de sa sortie, j’allais le chercher pendant ma pause déjeuner pour l’offrir à mon amoureux.

  • Sorcières (Mona Chollet)

    Un soir, ma sœur m’a appelée, bouleversée, pour me parler d’un « livre génial, complètement dingue » qu’il fallait absolument que je lise. « Tu verras, ça parle des femmes, c’est passionnant. Super énervant mais tellement intéressant ! » : il n’en fallait pas plus pour me convaincre : j’ai donc immédiatement commandé « Sorcière » de Mona Chollet.

  • Le voisin (Tatiana de Rosnay)

    J’ai acheté « Le voisin » par erreur. J’étais en train de chercher sur ma Kindle un autre roman de Tatiana de Rosnay et j’ai fait sans m’en rendre compte une fausse manipulation. Quelques heures plus tard, j’ai reçu un mail d’Amazon confirmant mon achat. Alors que j’allais contester la transaction, je me suis dit que j’allais finalement garder ce livre et le découvrir.

  • Les Testaments (Margaret Artwood)

    34 ans qu’on attendait la suite de la Servante Ecarlate !!! Bon, en réalité, pour ma part, ça ne fait qu’un an et demi, puisque je n’avais lu ce livre qu’en mai 2018. Je gardais de ce premier volet un souvenir très fort, suffisamment traumatisant pour me dissuader de regarder la série. J’ai longuement hésité à lire « Les testaments », car l’idée de me replonger dans ce récit qui m’avait tant marquée me faisait peur. Mais j’ai fini par céder à la curiosité…

  • Libérées ! Le combat féministe se gagne devant le panier de linge sale (Titiou Lecoq)

    La charge mentale, c’est un peu mon combat quotidien. Souvent, on me dit « tu as de la chance, ton mec t’aide vachement à la maison ! ». Ce genre de petite phrase, qui se veut gentille, a le don de m’exaspérer : non, je n’ai pas de « chance ». Tout simplement parce qu’il ne fait que sa part. Et encore, il reste quelques petits ajustements. Bref, vous l’aurez compris, le sujet est très sensible. J’ai donc commencé le livre de Titiou Lecoq en sachant par avance que ce que j’allais lire allait m’énerver…

  • Un cri du ventre (Enora Malagré)

    Comme beaucoup de monde, je « connais » Enora Malagré par la télévision. Il y a quelques années, je regardais régulièrement TPMP et je reconnais avoir eu de gros fous rires devant cette émission. La jeune femme au caractère bien trempé avait attiré mon attention : je devinais derrière ce masque de grande gueule une femme beaucoup plus intelligente et sensible que ce que le filtre de la télévision nous montrait. C’est pourquoi, lorsqu’elle a publié son livre, j’ai eu envie de le lire.

  • Tant pis pour l'amour (Sophie Lambda)

    Je ne suis pas une grande lectrice de bandes dessinées. Ce n’est pas que je n’aime pas (au contraire, je garde d’excellents souvenirs de mes vacances d’enfant, où je passais des heures à la bibliothèque à dévorer des BD en me marrant) mais c’est une question de format : une BD c’est grand, pas facile à transporter dans le RER, et puis ça se lit trop vite pour moi… Bref, je ne lis pas beaucoup de BD. Jusqu’à celle de Sophie Lambda, que je viens de découvrir. Une pépite…

  • Le premier jour du reste de ma vie (Virginie Grimaldi)

    Je vois déjà ce que vous allez penser : quoi ? Encore un livre de Virginie Grimaldi ? On en a marre… Oui, je sais. D’un autre côté, dites-vous que je les aurai bientôt tous lus et que nous pourrons passer à autre chose. Mais en attendant, parlons un peu de son tout premier roman (oui, je fais les choses à l’envers : j’aurais sans doute dû les lire dans l’ordre chronologique pour voir l’évolution…) qui a été publié en 2015.

  • Nous étions nés pour être heureux (Lionel Duroy)

    « Je suis en train de lire un lire génial ; il faut absolument que je te le prête ». Voici les mots exacts de ma sœur au sujet du dernier roman de Lionel Duroy. Il n’en fallait pas plus pour que je le commande sur ma Kindle : ma sœur me conseille souvent de très bons livres (en dehors de sa passion pour les ouvrages complexes de sociologie ou les témoignages de femmes battues, violées, prostituées et droguées, elle a plutôt de bonnes recommandations) et j’avais hâte de découvrir ce roman pour en discuter avec elle.

  • Un cancer pas si grave (Géraldine Dormoy)

    • Le 30/10/2019

    Géraldine Dormoy a longtemps été responsable éditoriale web de L’Express Styles. A plus de 40 ans, elle est aujourd’hui mariée et maman d’un petit garçon de 6 ans. Très suivie sur son blog (Café Mode, qu’elle a créé en 2005) et sur les réseaux sociaux, elle vient de publier son premier livre, « Un cancer pas si grave ».

  • Tout quitter (Anaïs Vanel)

    Comme beaucoup de parisiennes, il m’arrive parfois (même souvent !), d’avoir envie de partir. De changer de vie. De m’installer à la campagne. De ne plus avoir à me lever le matin pour prendre le RER. De pouvoir ouvrir la fenêtre et ne voir que les arbres et le bleu du ciel plutôt que le gris des immeubles. De ne plus courir toute la journée après le temps. Souvent, j’ai envie de « tout quitter ». Et c’est que qu’Anaïs Vanel a fait et nous raconte dans son premier livre…

  • Il est grand temps de rallumer les étoiles (Virginie Grimaldi)

    Décidément, j’ai lu beaucoup de romans de Virginie Grimaldi cet été ! Je reconnais que c’est facile à lire, reposant, et que l’auteure aborde souvent des problématiques qui me parlent. Une de mes collègues m’a indiqué qu’ « Il est grand temps de rallumer les étoiles » était son roman préféré de Grimaldi : il n’en fallait pas plus pour me convaincre de l’acheter (quand il s’agit de littérature, j’écoute souvent les conseils de mes proches).

  • Code 93 (Olivier Norek)

    J’ai découvert Olivier Norek récemment, avec Surface (qui a remporté le Prix Maison de la Presse 2019). J’ai immédiatement été séduite par son écriture vive, violente, réelle. Même si ses romans sont souvent durs (ils racontent toujours des histoires de flics, de drogue ou de meurtres. Voire les trois en même temps), je ne peux m’empêcher d’en lire un tous les deux ou trois mois. C’est donc avec beaucoup de plaisir que j’ai commencé Code 93.

  • Le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie (Virginie Grimaldi)

    On ne présente plus Virginie Grimaldi : elle est l’une des auteures françaises qui vendent le plus de livres… J’ai lu quelques-uns de ses ouvrages, mais pas tous. Et plusieurs de mes amies m’avaient recommandé celui-ci : je l’ai donc lu cet été (oui, en août, je lis beaucoup !)

  • Une évidence (Agnès Martin-Lugand)

    Cet été, bien installée dans mon hamac, j’ai découvert le dernier roman d’Agnès Martin-Lugand. Les commentaires très positifs sur ce livre m’avaient donné envie de le lire, et en entrant dans une petite Maison de la Presse d’un bled perdu de la Haute-Loire, je suis tombée dessus. Et alors ?

  • L'Auteur (Vincent Ravalec)

    Quand tu publies ton premier livre, tu deviens officiellement écrivain (ou écrivaine, si tu es une femme. Si si, c’est comme ça qu’on dit. Tu n’es pas choqué quand tu dis souverain / souveraine, alors pourquoi le serais-tu par écrivain / écrivaine ? Médite un peu la-dessus !). Peu importe que tu écrivais déjà depuis 20 ans : pour te voir reconnaître ce titre très convoité, il te faut impérativement passer par la case de la publication. Mais là n’est pas le débat. Lorsque ton premier livre sort enfin, tu t’attends à plein de choses : ton bouquin en devanture de toutes les librairies, les demandes d’interviews qui tombent à la pelle, les rencontres avec les lecteurs, les séances de dédicaces, les salons… Et bien permets-moi de te dire que la réalité est tout autre. Et Vincent Ravalec en parle mieux que personne dans son ouvrage « L’auteur » paru en 1995.

  • Les victorieuses (Laetitia Colombani)

    Comme des millions de lecteurs, j’avais lu « La tresse », le premier roman de Laetitia Colombani. Et pourtant, j’ai failli passer à côté de cette pépite. Pourquoi ? Tout simplement parce que la couverture ne m’attirait pas du tout… Bien que les critiques soient dithyrambiques, ce livre ne me donnait pas envie. Et quand ça ne me tente pas, je ne me force pas. Jusqu’à ce que je le trouve dans une brocante pour une bouchée de pain. Et lorsqu’il n’est plus resté que ce livre sur ma table de chevet, je l’ai ouvert. Et j’ai pris une belle claque. C’est pourquoi je n’ai pas attendu pour lire le nouveau roman de l’autrice.

  • Boomerang (Tatiana de Rosnay)

    Bien que je ne l’aie découverte que très tardivement, Tatiana de Rosnay est rapidement devenue l’une de mes autrices préférées. Il est donc évident que je ne suis pas tout à fait objective quand je lis un de ses livres… Contrairement à mon habitude, j’ai décidé de ne pas m’avaler l’intégralité de son œuvre à la suite, mais plutôt de faire durer le plaisir en lisant ses romans petit à petit, tous les 4-5 mois… Et cet été, j’ai choisi « Boomerang ».

  • Chambre 128 (Cathy Bonidan)

    Il y a quelques semaines, j’ai découvert « Le parfum de l’hellébor», premier roman de Cathy Bonidan, que j’avais adoré (qui m’avait même fait pleurer, ce qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps). J’étais donc à la fois impatiente et inquiète de me plonger dans son nouvel opus. Je l’avais mis de côté pour les vacances, histoire de le savourer pleinement plutôt que de façon hachée entre deux rames de métro (mon triste quotidien de lectrice…)

  • « J’ai dû rêver trop fort » (Michel Bussi)

    Je ne connais pas bien Michel Bussi. Comme tout le monde, j’avais déjà lu quelques uns de ses bouquins (« Un avion sans elle » que j’avais beaucoup aimé même si j’avais gardé en tête la chanson de Charlélie Couture pendant des JOURS, et « Maman a tort » qui m’avait accompagnée pendant un long trajet en train) mais je ne peux pas dire que j’en sache plus sur cet auteur. Je me suis donc dit que mes premiers jours de vacances seraient une bonne occasion de découvrir « J’ai dû rêver trop fort ».

  • Né d'aucune femme (Franck Bouysse)

    Il y a des livres qui ne vous laissent pas indifférent. « Né d’aucune femme » est l’un d’entre eux… Publié en janvier dernier aux éditions de la Manufacture, ce roman a déjà reçu de nombreux prix, parmi lesquels le Grand Prix des lectrices de Elle, le Prix des Libraires ou encore le premier Prix Babelio. Un livre qui fait parler, une couverture intrigante, une histoire pleine de mystère : il n’en fallait pas plus pour que j’ai envie de découvrir ce livre et me faire ma propre idée…

  • Lettres à l’ado que j’ai été (ouvrage collectif)

    • Le 01/08/2019

    A sa sortie en mars 2018, j’avais eu envie de le lire. Mais à cette époque, faute de temps (oui, un bébé, c’est chronophage !) je n’avais pas pu m’y plonger, et cet ouvrage collectif (sous la direction de Jack Parker) était resté dans la « liste des livres qu’il faut que j’achète un de ces jours ». Jusqu’à ce que je retombe sur lui dans les suggestions du site de la Fnac. Comme quoi, le marketing ciblé, ça peut avoir du bon…

  • Les oubliés du dimanche (Valérie Perrin)

    Après avoir eu un coup de cœur pour « Changer l’eau des fleurs », j’ai évidemment eu envie de lire un autre livre de Valérie Perrin. Je fais partie de ces lecteurs qui, lorsqu’ils aiment un auteur, deviennent un peu monomaniaque. C’est ainsi qu’un été, je me suis fait à la chaîne l’intégralité des livres de Guillaume Musso (ce qui n’était pas forcément une bonne idée. C’est un peu comme les chocolats : si tu en manges un de temps en temps, c’est super bon. Mais si tu t’enfiles toute la boîte en une seule fois, tu es vite écœurée. Mais ce n’est pas le sujet du jour). Bref, alors, ce bouquin, bien ou pas bien ?

  • Six ans à t'attendre (Delphine Giraud)

    Il y a quelques jours, sur le compte Instagram de Nos livres et nos Mots, j’ai découvert le résumé d’un livre qui m’a beaucoup plu. Il s’agissait d’un premier roman qui connait un très beau succès en autoédition (lorsque je l’ai acheté sur ma Kindle, il était dans le top 5 des meilleures ventes et a dépassé les 10 000 ventes!). Je me suis donc dépêchée de le lire (d’autant plus qu’avec Nos Livres et nos mots, on s’est amusées à le découvrir en même temps et j’ai adoré pouvoir échanger nos impressions de lecture !)

  • Avec toutes mes sympathies (Olivia de Lamberterie)

    Pour comprendre la portée de ce livre, il est important de savoir qui en est l'auteure : Olivia de Lamberterie est une personnalité qui compte dans le monde des livres. Journaliste et critique littéraire, elle est rédactrice adjointe du magazine Elle et chroniqueuse littéraire sur Télématin. Bref, les livres, elle connait et un seul mot d'elle peut booster les ventes d'un ouvrage. Olivia, c'est un peu la Anna Wintour de la littérature (rien que ça). Alors évidemment, lorsque j'ai découvert qu'elle avait pris la plume, j'ai voulu découvrir comment écrit celle qui connait (et juge) si bien les écrits des autres.

  • Ciao Bella (Serena Giuliano)

    Voici un livre qui m’intriguait beaucoup, pour plusieurs raisons. D’abord, parce que les critiques que je lisais ici et là (enfin, surtout là, sur Intagram !) étaient très positives. Ensuite, parce que son auteure, Serena Giuliano, n’est autre que Wonder Mum, un nana super marrante, maman de deux enfants, qui tient le blog éponyme dont ont été issus trois livres ! Et enfin, parce que cette mystérieuse couverture qui en disait si peu me donnait envie d’en savoir plus…

  • Entre deux mondes (Olivier Norek)

    Après avoir littéralement dévoré Surface, d’Olivier Norek, j’ai évidemment eu envie de découvrir plus en profondeur l’œuvre de cet auteur de polar. Après quelques recherches sur Internet, et aux vues des critiques dithyrambiques pout ce roman, je me suis décidée à lire « Entre deux mondes » sans vraiment savoir ce qui se cachait derrière le titre un peu mystérieux. Je ne m’attendais pas à ça…

  • Licorne (Nora Sandor)

    J’ai une légère addiction aux réseaux sociaux. Surtout Instagram. Je ne publie pas beaucoup et ne mets pas souvent en scène ma vie personnelle (qui n’intéresserait par ailleurs absolument personne tant elle est banale), mais j’adore passer du temps sur ce réseau social. J’y découvre des livres, des recettes, des idées de sorties… C’est une mine d’informations précieuse. Et j’avoue avoir parfois une petite curiosité un peu malsaine, l’envie de savoir comment vivent les autres (et oui, je me compare). Alors quand j’ai vu passer à plusieurs reprises le livre « Licorne », de Nora Sandor, qui raconte l’histoire d’une jeune femme qui devient un phénomène sur les réseaux sociaux, je l'ai immédiatement acheté.

  • Exils (ouvrage collectif au profit de l'UNICEF)

    J’ai toujours aimé les ouvrages collectifs. D’une part, parce que cela me permets de découvrir de nouveaux auteurs, et d’autre part, parce que si une nouvelle ne m’intéresse pas, j’ai moins de scrupules à la zapper que lorsque je lis un roman (oui, je fais partie de ces personnes qui ne supportent pas de ne pas terminer un livre, même nullissime). Alors quand j’ai appris que l’UNICEF publiait un recueil de nouvelles avec plusieurs auteurs que j’adore (dont Aurélie Valognes et Tatiana de Rosnay), je l’ai immédiatement acheté. Une manière de joindre l’utile à l’agréable, puisque par ailleurs, 1,50 euros sont reversés à l’UNICEF pour chaque livre acheté. Il n’en fallait pas plus pour me convaincre.

  • Surface (Olivier Norek)

    Il y a quelques semaines, j’ai eu l’heureuse surprise d’apprendre que j’avais été présélectionnée pour le Prix Maison de la Presse 2019. Bon, ne nous emballons pas : sans grande surprise, mon livre a été écarté dès le premier tour. Mais j’avoue que je n’ai pas pu m’empêcher de m’intéresser de plus près aux autres ouvrages en lice. Et notamment celui du lauréat, Olivier Norek.

  • On n'efface pas les souvenirs (Sophie Renouard)

    • Le 22/05/2019

    C’est à nouveau sur Instagram que j’ai entendu parler d’ « On n’efface pas les souvenirs » (décidément, vous allez vous dire que je passe beaucoup de temps sur ce réseau social : ce n’est pas faux, mais à ma décharge, c’est une source d’information précieuse pour découvrir de nouveaux livres). Plus exactement, c’est en écoutant Tatiana de Rosnay nous faire l’apologie de ce premier roman de la journaliste Sophie Renouard que j’ai eu envie d’en savoir plus. Ni une, ni deux, je l’ai commandé sur ma Kindle.

  • Le parfum de l’hellébore (Cathy Bonidan)

    Je n’avais jamais entendu parler de ce livre. C’est une de mes éditrices de La Martinière qui me l’a offert lorsque nous nous sommes rencontrées pour la première fois. Pendant plusieurs mois, « Le parfum de l’hellébore » est resté sur ma table de nuit, tout en haut de la haute pile des livres qui attendent leur tour. J’avais toujours une bonne raison de ne pas l’ouvrir : les corrections de mon roman à rendre dans des délais serrés, la fatigue, d’autres livres que j’avais également envie de découvrir… Jusqu’à la semaine dernière où, intriguée de lire chaque soir ce titre mystérieux, j’ai fini par m’y plonger.

  • Quand nos souvenirs viendront danser (Virginie Grimaldi)

    Depuis plusieurs jours, je voyais passer sur Instagram des dizaines de commentaires dithyrambiques sur le nouveau roman de Virginie Grimaldi. Ne connaissant pas cette auteure pourtant très populaire (elle a publié 5 romans, dont trois best-sellers, et figure dans le Top 10 des écrivains ayant vendu le plus de livres en France en 2018), je me suis dit qu’il était temps pour moi de découvrir cette plume dont j’entendais tant parler.

     

  • La vie secrète des écrivains (Guillaume Musso)

    A moins que vous ne viviez complètement coupés du monde, vous avez certainement entendu parler de Guillaume Musso : pour faire court, il est depuis plusieurs années l’écrivain français qui vent le plus de livres. Inutile de préciser que tous les auteurs (moi la première !) rêvent d’une carrière à l’image de la sienne. C’est simple : il a sorti son premier livre en 2001, et depuis 2004, il publie un roman par an. On dira ce qu’on voudra, mais on ne peut pas lui reprocher de ne pas être prolifique. Et en grande fan que je suis, j’ai bien sûr immédiatement acheté son dernier opus : « La vie secrète des écrivains ».

  • Le Pouvoir (Naomi Alderman)

    Sur les conseils d’une de mes collègues, j’ai lu Le Pouvoir, ce roman de Naomi Alderman publié en anglais en 2018 et sorti en France l’année dernière. Je l’ai terminé il y a quelques semaines maintenant, et pourtant, ce livre me laisse une drôle d’impression. Il ne se passe pas une journée sans que j’y repense et, plus de deux mois après l’avoir refermé, je n’arrive toujours pas à savoir si je l’ai adoré ou détesté..

  • Les Gratitudes (Delphine de Vigan)

    Autant l’avouer tout de suite : Delphine de Vigan est l’une de mes auteures préférées. Voilà, c’est dit. Au moins, vous êtes prévenus : je ne suis pas objective. Je garde un souvenir très fort de la lecture de deux de ses ouvrages Rien ne s’oppose à la nuit et D’après une histoire vraie qui m’ont réellement marquée et auxquels je repense souvent. Alors quand elle sort un nouveau livre, je fonce l’acheter. Je n’ai donc pas failli à la règle et Les Gratitudes est arrivée tout en haut de ma PAL*.

  • Manderley for ever (Tatiana de Rosnay)

    « Comment ai-je pu passer à côté de ce livre ? »

    Voici la question que je me suis posée à l’instant où j’ai commencé Manderley for ever, la biographie de Daphné du Maurier écrite par Tatiana de Rosnay et publiée en 2015 aux Editions Héloïse Dormesson/Albin Michel. Pourtant, j’ai vu les films d’Hitchcock Rebecca et Les oiseaux (inspirés de deux des livres de Daphné Dumaurier) quand j’étais petite, je dévore les livres de Tatiana de Rosnay dont j’adore la plume, et ma mère me harcelait régulièrement pour savoir si je l’avais lu, mais non. Il était passé entre les mailles du filet. Jusqu’à récemment, quand ma sœur me l’a prêté en me disant « tu DOIS le lire ». Et elle avait raison.